Le théâtre va-t-il concurrencer la psychanalyse?
Un défaut, une qualité? Les uns et les autres se mettront d'accord.
En revanche, la timidité quand elle n'est plus le simple charme des pommettes qui rosissent, mais plutôt la moiteur d'une paume, est bien plus compliquée à vivre et beaucoup moins glamour à aborder. Physiquement et psychologiquement, la timidité s'empare de l'être, comme une perte de maîtrise de soi qui pousse le timide à se fermer au monde.
En revanche, la timidité quand elle n'est plus le simple charme des pommettes qui rosissent, mais plutôt la moiteur d'une paume, est bien plus compliquée à vivre et beaucoup moins glamour à aborder. Physiquement et psychologiquement, la timidité s'empare de l'être, comme une perte de maîtrise de soi qui pousse le timide à se fermer au monde.
A l'adolescence, âge délicat au possible, la timidité maladive pèse de tout son poids. Une visite illico chez le psy du coin? Ou une immersion dans un atelier de théâtre?
Je vote pour la deuxième option en ayant fait l'expérience au lycée. Bien sûr on lutte et les premiers cours sont décourageants, stressants. Et puis, on prend confiance. Et surtout, on ne fait pas que vaincre une timidité, on apprend de nouveau son corps, on découvre le jeu et les comédiens, le texte. Plus qu'une descente dans les eaux profondes du moi intérieur, le théâtre ouvre au monde. Et tout ça, je vous invite à l'entendre de la bouche de lycéens et d'étudiants, de Papy du Déclic Théâtre lors de l'émission Service Public sur France Inter.
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